Copie "Ne restez pas sur ma tombe et pleurez Ne restez pas sur ma tombe et ne pleurez pas; Je ne suis pas là. Je ne dors pas. Je suis un millier de vents qui soufflent. Je suis le diamant scintille sur la neige. Je suis la lumière du soleil sur le grain affiné, Je suis la douce pluie d'automne. Quand vous vous réveillez dans le silence du
AccueilBillets d'humour et d'humeurNe pleure pas devant ma tombeJe pense à la mort tous les jours. Et parfois plusieurs fois par jour. Mais c’est la Vie qui m’obsède, me possède et m’enivre d’elle parfois. Ainsi face à la mort, j’ai rarement les mots, c’est le silence qui me donne son rythme et sa éprouvé un tel plaisir à écouter ce poème de Mary Elizabeth Frye et d’entendre le murmure de sa 22/07/ 569 total views, 1 views todaymort Nepleure pas si tu m’aimes ! Si tu savais le don de Dieu et ce c’est que le Ciel ! Si tu pouvais d’ici, entendre le chant des Bienheureux, et me voir au milieu d’eux ! Si tu pouvais voir se dérouler sous tes yeux les immenses horizons et les nouveaux sentiers où je marche ! Si, un instant, tu pouvais contempler comme moi la Beauté devant laquelle toutes les beautés pâlissent Sur TerreSoudain, les cieux s'ouvrirent, écartelés Par le fracas des bombes thermonucléaires Qui arrachent des lambeaux du sol craqueléAu cœur même d'un complexe libérée, réaction en chaîne Vaporisent et disloquent les bâtimentsLa boule de feu, l'onde de choc se déchaînent Détruisant tout, à faire fondre le s'abat sur les continents Et dans les océans, tout est vitrifiéLa Mort pleure, plus de vie ! C'est hallucinant !Avec le temps, le climat s'est millions d'années ont passées et un jourVenant de l'espace profond, un grand vaisseauLa nouvelle Arche s'est posée, aux alentoursDe l'engin, les traces de combats un voyageur astral sort de l’astronefIl scrute l’horizon, observe le soleilQui est toujours présent, là-bas, un reliefIntrigué par ce mont, reprend son gigantesque pyramide apparaîtIl entrevoit la porte, entre dans l’édifice Et au fond un autel, avec grand intérêtIl avance vers ce lieu de un des côtés, un étrange mausolée De métal et de verre, Il voit le corps humainFéminin et si parfaitement conservéFasciné, il croit que l’être lui tend les mains !L'extraterrestre vacille, bouleversé A voir allongé sur le marbre opalinLe corps figé par le temps, se sent transpercé II veut sortir l'aimée du tombeau briser le minéral et libérer La déesse, des serres de l'éternitéIl pleure en longs sanglots, il est désespéré Impuissant devant la splendide une larme tombe sur le sol poli Tout d'un coup, la salle s'emplit de lumière L'entité prend peur et soudain c'est la folieLe caveau s'ouvre, apparaît la ! À faire pâlir d'envie les plus beaux soleils Elle ouvre enfin ses yeux, d'un bleu azurDélivrée de son interminable sommeilMachinalement, refait sa douce vraiment surprise, prête à tomber Regarde autour d'elle, aperçoit la créaturePrès du tombeau, qui ressemble à un scarabéeElle crie de terreur, à voir cette est saisi, agite mandibulesPour lui faire comprendre qu'il veut l'apaiserLa rassurer, mais la femme sans préambuleLe tue, comme un scorpion au mortel baiser. La femme se penche sur le cadavre froid De la bête qui gît le thorax perforé Elle entrevoit et s'aperçoit avec effroi Que le monstre ne voulait pas la portait entre ses pattes griffues Les vêtements de la Dame, mais qu'ai-je fait ?Il voulait m'aider et n'était pas à l'affût D'une proie ! Elle remit enfin ses qui s'appelle Eve comprend son erreur Cherche désespérément les moyens de fuirDe quitter cet endroit maudit et de malheurPour sa vie, pour sa survie, à tout prix, s' des lieux, trouve l'engin spatial De la défunte victime, monte dedansLes moteurs hurlent, malgré le froid glacial Il faut décoller et éviter l' perdue dans l'océan interstellaire Décide d'être en état d'hibernationElle s'endort dans son caisson rectangulaireLe pire des dangers, les millénaire plus tard, le radeau céleste S'échoue, quel est ce pays aux abords ardentsEve demande où elle est à un être agreste Sur la Planète des singes, mon nom Adam !Eve est surprise, étonnée et déconcertéeAdam est vêtu tout de blanc, d'un beau costumeEt parle un français parfait, il veut l'alerter L'homme n'est pas Maître, ce n'est pas la coutume. Car le pouvoir est entre les mains des primates Ils font la loi, les humains, des animaux captifsAdam le sait, il en porte les stigmates Les singes savent corriger les tu es donc un esclave, un vil serviteurComment peux-tu subir cette servilité N'as-tu pas envie de combattre les auteursQui manquent tant envers toi, de explique à Eve qu'il est différent C'est le dernier des Neandertal, le mal Il ne l'a pas en lui et trouve aberrantQu'elle veuille tout changer, nuire à l' essaie de le convaincre, c'est la natureHumaine de dominer, maîtriser les élémentsAdam ne se plaint pas, a bonne nourritureIl n'a plus à chasser, les temps sont plus temps passe, l'amour entre les deux amants Prend place, Eve est désormais heureuse, enceinte Pour la première fois, devenir maman Et qui pourrait prédire si un jour sur Terre... Toutcela ne fera qu'une ruine unique. Avenir et passé s'y vont amonceler. Oui, nous le proclamons, ton Déluge est inique: Il ne renversera qu'afin de niveler. Si nous devons bientôt, des bas-fonds en délire, Le voir s'avancer, fier de tant d'écroulements, Du moins nous n'aurons pas applaudi de la lyre Au triomphe futur d'ignobles éléments.
Add this video to my blog Toi qui est là ne pleure pas devant ma tombeJe n'y suis pas et je ne dors pas Je souffle dans le ciel tel un millier de vents Je suis l'éclat du diamant sur la neige Je ne dors pas,je suis le soleil sur les blés dorés Je suis la pluie,je suis la douce pluie d'automne Toi qui est là ne pleure pas devant ma tombe Je n'y suis pas car je vis encore... Posted on Wednesday, 26 November 2014 at 432 PMEdited on Wednesday, 26 November 2014 at 442 PM
Penséedes morts. Alphonse de Lamartine 1 0. Voilà les feuilles sans sève. Qui tombent sur le gazon, Voilà le vent qui s’élève. Et gémit dans le vallon, Voilà l’errante hirondelle . Qui rase du bout de l’aile : L’eau dormante des marais,
Add this video to my blog il y a 11 mois 13 Cette chanson est tirée d'un poème "Do not stand at my grave and weep" dont la traduction française est Ne pleure pas devant ma tombeJe n'y suis pas, je ne dors pasJe suis un millier de ventsJe souffle dans le cielJe suis la lumière d'automne sur les champsJe suis l'éclat du diamant sur la neigeJe suis l'oiseau du matin lorsque tu t'éveillesJe suis l'étoile du printemps, je veille sur toiNe pleure pas devant ma tombe Pour tout ceux qui sont partient beaucoup trop tôt,et qui me manque Maman que j'aime et qui est au plus profond de mon coeur ainsi mon que ma belle soeurEux don j'aurais tellement besoin en ce moment ...Eux don j'aurais tellement envie de les rejoindre....J'ai hate qu'arrive ce moment pour ne plus a m'inquiéter du lendemain et des autres...Eux qui doivent être la haut dans la paix et la joie ...Je vous aimes Posted on Thursday, 17 June 2010 at 1050 PM

Nereste pas là à pleurer devant ma tombe je n’y suis pas, je n’y dors pas Je suis le vent qui souffle dans les arbres Je suis le scintillement du diamant sur la neige Je suis

Add this video to my blog Cette chanson est tirée d'un poème "Do not stand at my grave and weep" dont la traduction française est Ne pleure pas devant ma tombeJe n'y suis pas, je ne dors pasJe suis un millier de ventsJe souffle dans le cielJe suis la lumière d'automne sur les champsJe suis l'éclat du diamant sur la neigeJe suis l'oiseau du matin lorsque tu t'éveillesJe suis l'étoile du printemps, je veille sur toiNe pleure pas devant ma tombeTu non credere perchéQuesta crudeltà di padroniHa visto in meSolo una cagna cheMe mett' anch'Io alla tua catenaSe attraverso la cittàQuesta ipocrita, tua cittàIl corpo mioche passa tra di voiÈ un invettiva contro la viltàTu ritroverai con meLa più splendida proprietàUn attimo di sole sopra noiAlla ricerca di te Posted on Saturday, 10 April 2010 at 745 PM
Jaimerai aujourd'hui, partager avec vous ce poème : Ne pleure pas devant ma tombe, écrit en 1932 par Mary Elizabeth Frye. Ce poème pour lequel elle est devenue célèbre a été composé à l’origine Quichante Poème sur la 7e? Indice : cet artiste chante aussi Rock'n roll man, Ca ne change pas un homme, Reste ici, Fils de personne, Un ami ça n'a pas de prix, Le feu, Ma main au feu, Je n'ai pas voulu croire, Elle m'oublie, Hey joe, L'idole des jeunes, Pour moi tu es la seule, Je ne suis pas un héros, Je te veux, Mirador, On me recherche
PoèmeLe jeune malade. » Apollon, dieu sauveur, dieu des savants mystères, Dieu de la vie, et dieu des plantes salutaires, Dieu vainqueur de Python, dieu jeune et triomphant, Prends pitié de sa mère aux larmes condamnée, Ces mains, ces vieilles mains orneront ta statue. Et, chaque été nouveau, d’un jeune taureau blanc.
\n \npoème ne pleure pas devant ma tombe
Toiqui est là ne pleure pas devant ma tombe. Je n'y suis pas et je ne dors pas. Je souffle dans le ciel tel un millier de vents. Je suis l'éclat du diamant sur la neige. Je ne dors pas,je suis le soleil sur les blés dorés. Je suis la pluie,je suis la douce pluie d'automne. Toi qui est là ne pleure pas devant ma tombe. dq1o7J.
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