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LesSans dents - Bande annonce FR. Ils sont affreux, sales, Mais pas méchants. Un clan vit à rebours de la civilisation, dans l'inframonde d'une décharge. Cette mini-tribu recycle en toute illégalité notre rebut pour s'aménager de manière étonnante un hameau de bric et de broc. La vie pourrait ainsi couler si une équipe policière
La 6ème session de l’unipop d’été, traditionnel rendez-vous de pré-rentrée organisé au cinéma Jean Eustache à la fin du mois d’août, s’est déroulé les mercredi 26 et jeudi 27 août soixantaine de spectateurs ont suivi avec assiduité et curiosité l’ensemble du programme proposé pour ces deux journées de plaisir et culture sous le signe de la comédie italienne des années 60, moment de grâce du cinéma transalpin ayant orchestré la rencontre d’acteurs, de réalisateurs et de scénaristes de talent, et la naissance de chefs d’œuvre intemporels, ce stage a été mené d’une main de maître par l’historien du cinéma Jean Gili, référence de la critique française en matière de cinéma programme de ces deux jours fut riche et dense les prologues et commentaires de Jean Gili assortis de moments d’échanges avec le public ont accompagné la projection de 4 films des 2 auteurs emblématiques de ce genre, Mario Monicelli et Dino Risi, et de 2 documentaires co-réalisés par Jean coup d’envoi fut donné par la projection du film “Le Pigeon” de Mario Monicelli, film fondateur qui marque en 1958 un passage de relais entre l’immense comédien Totò et une nouvelle génération d’acteurs menée par Marcello Mastroianni et Vittorio Gassman. L’après-midi de la première journée fut consacrée au grand Dino Risi, à travers la projection du film “Le Fanfaron” reposant sur le formidable duo formé par Vittorio Gassman et Jean-Louis Trintignant, avant un documentaire consacré au cinéaste. Le lendemain matin, la projection du film à sketches “Les Monstres” permit de poursuivre l’exploration du cinéma de Risi, avant un retour à Monicelli l’après-midi avec le film “Larmes de joie” qui marque la rencontre entre Anna Magnani, Totò et Ben Gazzara. La journée et le stage furent clos par la projection d’un documentaire consacré à Ettore Scola, autre grand nom de cette comédie retours des spectateurs furent unanimement très positifs, saluant la qualité des films choisis et celle de la prestation de l’intervenant, dont l’érudition en matière de cinéma italien et l’habileté oratoire furent très conseils pour aller plus loin D’autres films à voir pour continuer à explorer la comédie à l’italienne Dino Risi Au nom du peuple italien, Une Vie difficile, Le Veuf, Carrière d’une femme de chambre…Mario Monicelli La Grande guerre, Les Camarades, L’Armée Brancaleone, Mes chers amis…Ettore Scola Affreux sales et méchants, Le Bal, La Nuit de Varennes, Nous nous sommes tant aimés, Une Journée particulière, Le Voyage du Capitaine Fracasse …Luigi Comencini La Grande pagaille, L’argent de la vieille, Le Grand embouteillage…Pietro Germi Séduite et abandonnée, Ces messieurs dames, Divorce à l’italienne + Les Nouveaux monstres, films à sketches de Monicelli, Risi et ScolaDes livres pour en savoir plus La Comédie italienne, Jean A. Gili, Henri Veyrier, 1990Le Cinéma italien, Jean A. Gili, La Martinière, 2011 préface d’Ettore ScolaMes monstres, mémoires de Dino Risi, Ed. de Fallois, 2014La Comédie italienne, Charles Beaud, Lettmotif, 2016L’Italie au miroir de son cinéma, 3 volumes, Coll. ss la dir. de Jean Gili, Editalie, 2015-2019
Depuis1941, il a produit plus de 140 films, dont des films réalisés par Federico Fellini (La Strada, Il appuie aussi «Profession: reporter» d'Antonioni en 1975 ou «Affreux, sales et méchants» de Scola en 1976. A la suite de graves problèmes avec le fisc italien, il transfère ses activités au Canada en 1979. Carlo Ponti a produit pour sa femme un remake de
Dans cet exercice tarantinien, le cancre Gary Fleder copie laborieusement l’élève surdoué plutôt que les maîtres. Déjà catalogué comme un sous-produit roublard de l’école Tarantino, car produit par Miramax et adoptant certains tics de Reservoir dogs et Pulp fiction, ce premier film ressemble fort à un ratage complet. Son principal défaut est de tenter de […] Dans cet exercice tarantinien, le cancre Gary Fleder copie laborieusement l’élève surdoué plutôt que les maîtres. Déjà catalogué comme un sous-produit roublard de l’école Tarantino, car produit par Miramax et adoptant certains tics de Reservoir dogs et Pulp fiction, ce premier film ressemble fort à un ratage complet. Son principal défaut est de tenter de suppléer une mise en scène banale par un surcroît d’originalité de façade. Situer un film à Denver, c’est déjà faire preuve d’un louable souci d’innovation. Je ne connais pas cette riante cité du Colorado, mais le moins que l’on puisse dire est que le film ne pousse pas à son exploration. Rare-ment aura-t-on vu une ville présentée sous un si mauvais jour. La lumière est plombée, les rues sinistres et l’ambiance générale pue la dépression. Un décor guère séduisant, donc. Le plus piquant est que Fleder raconte qu’il a trouvé Denver si laid qu’il l’a reconstitué dans un bled voisin. Denver, ça doit vraiment être sympa. Ce parti pris de laideur est à l’image de tout le film. Sommé par le mafieux local Christopher Walken en roue libre dans son rôle tristement habituel de vilain d’accomplir une dernière mission, Jimmy le Saint Andy Garcia, meilleur que d’habitude, un gangster repenti, va plonger tête la première dans de graves ennuis. Pour régler un problème somme toute assez simple faire peur au type qui a fauché la girlfriend du fils débile du boss , il ne trouve rien de mieux que de reconstituer son ancienne bande. Ce n’est pas un gang mais un musée des horreurs. On y trouve un coprophage militant, un projectionniste arthritique et un traîne-savates. Mis à part Jimmy le Saint lui-même, le seul décent est le Noir de la troupe. Les autres sont affreux, sales et méchants. Avec de tels acolytes, le dernier contrat tourne vite à la catastrophe. D’autant plus que Jimmy a rencontré une gentille petite, monitrice de ski de son état, avec qui il souhaite filer le parfait amour. Le retour de son lourd passé va contrecarrer son rêve romantique. Voilà, voilà. Quand on aura ajouté que Fleder n’a pas l’ombre d’une idée de mise en scène et qu’il en rajoute dans le verrouillage scénaristique et le lookage » bêta pour pallier ce grave défaut, tout semblera dit. Pourtant, passé l’agacement légitime devant une noirceur aussi gratuite, ce tout petit film a au moins un intérêt a contrario. Présenté comme roublard, il est d’une naïveté confondante. Tout entier construit sur un registre d’oppositions simplistes, Dernières heures à Denver reste purement théorique, voire scolaire. A chaque raccord, à chaque réplique, on voit le réalisateur tourner la page du scénario. Du coup, son film devient un catalogue de poncifs et s’assume comme tel. Tout fonctionne sur les clichés du polar à l’ancienne et leurs dérivés tarantiniens. Pâle imitateur qui copie un élève plus doué que lui plutôt qu’un maître, Fleder n’est même pas un néoclassique. Il n’est que le cancre du dernier rang, celui qui bave sur les lauriers du premier de la classe. Critiques
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